« Non, elle est au théâtre... criss », a déjà dit Lou Vincent Desrosiers, 8 ans, à une connaissance qui appelait sa mère à la maison. C'est un souvenir impérissable qui marque encore la comédienne. Accompagnée d'Isabelle Vincent, elle se remémore les moments culturels les plus marquants vécus en famille.
Au micro d’Émilie Perreault, la mère et la fille n’hésitent pas à chanter en chœur J’t’emmène au vent, de Louise Attaque, une chanson qui leur rappelle les étés passés dans le Maine. Également festive, la chanson El cuarto de Tula, de Buena Vista Social Club, leur fait penser aux vacances dans le Sud.
La musique de Moby, le parfait artiste pour « les jeunes parents dans la fin trentaine au début des années 2000 », ainsi que celle de Norah Jones et de Jean Leloup trônent au sommet des plus écoutées dans leur famille. Mention spéciale au poème Il existe pourtant, de Marie Uguay, qui apporte « lumière, espoir et réconfort » aux deux comédiennes.