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Cold cases : la science face au crime

Cold cases : la science face au crime

  • Cold cases : la science face au crime – bande-annonce

    Le service police-justice de Franceinfo raconte, au travers de grandes affaires criminelles, comment les avancées techniques et scientifiques sont devenues incontournables pour résoudre des cas non élucidés.
  • Le meurtre de Christelle Blétry : quand l'ADN conduit aux aveux

    Christelle Blétry est violée et tuée brutalement le 28 décembre 1996, à Blanzy, en Saône-et-Loire, alors qu'elle rentrait d'une soirée. Dix-huit ans plus tard, grâce à la ténacité de sa mère, la juge accepte de relancer des recherches ADN sur les vêtements de la victime. L'auteur du crime, Pascal Jardin, est identifié et condamné à perpétuité.
  • La profileuse qui a fait avouer le tueur en série Jacques Rançon

    Le « tueur de la gare de Perpignan » a été incriminé par son ADN en 2014 pour deux meurtres suivis d'horribles mutilations survenus en 1997 et en 1998. Mais en 2019, il est de nouveau mis en cause dans une affaire non résolue quand Marie-Laure Brunel Dupin, profileuse de la gendarmerie, réussit à le lier à un homicide survenu aux alentours d'Amiens en 1986.
  • Alexandre Junca et le rôle décisif de la médecine légale

    Alexandre Junca, 13 ans, disparaît subitement alors qu'il rentre seul d'une fête le soir du 4 juin 2011, dans le centre-ville de Pau. Trois semaines plus tard, son corps est retrouvé démembré dans la rivière. L'exploitation de la téléphonie et un petit coup de pouce font avancer l'enquête, mais l'implication d'un légiste s'avère déterminante.
  • Tuerie d’Huos : quand la science innocente le coupable idéal

    Henri-Jean Jacomet, un ouvrier de 25 ans, trouve sa femme sans vie dans la maison de ses beaux-parents, gisant avec les corps de sa belle-sœur et de son beau-frère. Soupçonné de ce triple meurtre survenu le 13 juillet 1988 à Huos, en Haute-Garonne, il attend 15 ans avant que la science ne le blanchisse.
  • L’affaire Christelle Maillery et l’obstination d’un enquêteur

    Christelle Maillery, 16 ans, est retrouvée assassinée trois heures après avoir quitté le collège, le 18 décembre 1986, dans la petite ville du Creusot (Saône-et-Loire). Il faut attendre 25 ans avant que le meurtrier ne soit identifié, et ce, malgré la perte de tous les scellés au fil du temps.
  • L'affaire Élodie Kulik et l'ADN de parentèle

    Élodie Kulik, 24 ans, dîne dans un restaurant avec un ami le 10 janvier 2002. Sur la route du retour, à Péronne, dans la Somme, la jeune directrice d'agence bancaire est prise en chasse. On la retrouve violée, étranglée et brûlée. Malgré de l'ADN recueilli sur la scène de crime et l'enregistrement de l'appel de la victime aux pompiers où l'on entend ses deux ravisseurs, il faut attendre plus de dix ans pour que le meurtre soit résolu grâce à l'ADN de parentèle. Une première en France.
  • L’affaire du violeur en série de Lyon et le portrait-robot génétique

    D'octobre 2012 à janvier 2013, à Lyon, un homme cagoulé, armé d'un couteau, agresse et viole des jeunes femmes. Chaque fois, le mode opératoire et l'ADN prélevé sur les victimes sont les mêmes. Pour tenter de démasquer « le violeur du 8e arrondissement de Lyon », les enquêteurs utilisent un outil scientifique jusque-là non autorisé en France : le portrait-robot génétique.
  • Vers un monde sans cold case?

    Franceinfo vous propose une immersion au sein de l'Institut de recherche criminelle de la Gendarmerie nationale pour découvrir des techniques qui permettront d'élucider les crimes de demain.